eMarketing

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mardi 5 juin 2012

La publicité qui vous suit à la trace!

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un nouveau phénomène d’e-marketing qui fait le bonheur des e-commerçants (Cdiscount, Rueducommerce, Pixmania…), la publicité qui traque les acheteurs internautes appelée remarketing.

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mardi 30 juin 2009

Carole Pozzuoli - Internet et la Grande distribution, cas de Fnac.com

Fnac.com a annoncé aujourd’hui le lancement de sa market place, c’est à dire un espace de vente de produits d’occasions. C’est à mon sens un nouvel exemple de comment internet bouleverse la grande distribution. Fnac est un acteur historique et très traditionnel de vente de produits culturels et high tech. En terme de vente, son site web est son premier magasin en France. Cependant, il représentait jusqu’à présent un moyen classique de vendre sur internet, c’est-à-dire une adaptation online du modèle offline de FNAC. En ouvrant un espace de vente de produits d’occasion sur son site web, la FNAC démontre qu’Internet permet de remettre en cause leur business model historique. Elle sera ouverte tout d’abord aux vendeurs professionnels dès le mois de mai et aux particuliers à partir de septembre. L’internaute peut y acheter des produits neufs ou d’occasion (livres, cd, dvd, jeux-vidéo) et également des instruments de musique, des partitions, des posters, des figurines…. Le site se veut avant tout être un intermédiaire entre le vendeur et l’acheteur en cas de litige. La Fnac garantit des achats sécurisés en opérant une sélection sur les vendeurs (qui sont notés de 0 à 5 étoiles) et les offres proposées, tout en assurant le suivi des transactions. FNAC était parmi les seuls grands sites d’ecommerce en France a ne pas avoir sa market place. Amazon, Pixmania, Alapage se sont lancés dans l’aventure depuis plusieurs années. Des pures players comme Priceminister (l’acteur historique), Ebay et 2xmoinscher en ont fait leur cœur de métier à part entière. L’internaute étant de plus en plus malin, voulant acheté son produit au meilleur prix, surtout quand il s’agit d’un livre qui ne sert qu’une fois et qui est faiblement usé après une première utilisation, il est tout a fait logique que FNAC prétende à sa part du gâteau. La Fnac s’ouvre donc au marché de l’occasion, estimé sur internet en France à 3 milliards d’euros. “Sur chaque produit de la vente, le site touchera entre 8 et 12% de commissions selon la valeur des produits”, a précisé Xavier Flamand, le directeur général de Fnac.com. Le site internet de la Fnac a l’ambition de réaliser 15% de ses ventes d’ici 18 mois grâce à Market place avec un référencement de plus de 500 vendeurs professionnels, 5 millions d’offres et 20 nouvelles catégories de produits. Pour son lancement, elle propose une sélection de produits de plus de 150 vendeurs. " hreflang="fr">

Source :

Egalement : cours personnel de Management des Systèmes d'Informations (Professeur: A.Harfouche, ISG et Dauphine) : rubrique type d'entreprise: Numérique et virtuelle

lundi 29 juin 2009

Le Neuromarketing Salih-Ismael-2011-cn-GR3

« LE CŒUR DONNE LA DIRECTION, LE CERVEAU LA SOLUTION, LE CORPS LA CONCRÉTISATION » LUIS FERNANDES

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vendredi 26 juin 2009

Maher Zineb le E-Marketing

Qu'est ce que le E-MARKETING?http://www.youtube.com/watch?v=Gs0MUPIrgwY&feature=related

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Le NEUROMARKETING ET LA PUBLICITÉ - ABED ELAMRANI JOUTEY - 2011CN GROUPE B - ISG

Une forme assez atypique quant à l'étude du comportement du consommateur existe depuis 2002 : c'est le Neuromarketing.
Cette méthode consiste à comprendre de façon plus précise et plus minutieuse le fonctionnement du cerveau du consommateur dans le but de créer des publicités plus efficaces car elles sauront "parfaitement" répondre à ce que ce dernier souhaite.
En effet, aux Etats-Unis, des entreprises qui étudient le fonctionnement du cerveau des consommateurs ont été créées. Leur méthode: demander à un échantillon de consommateurs volontaires de répondre à un questionnaire. Ce questionnaire étant établi de façon à identifier leur préférences sur un large panel de produits et de marques connues. En mêmê temps que ces personnes répondent au questionnaire (en visionnant des images de produits ou de marques susceptibles de leur plaire ou non), "le travail" ou l'activité de leur cerveau est enregistrée. Les scientifiques ayant étudié ces enregistrements remarquent des degrés de préférence différents des consommateurs pour les différents produits ou marques, ces préférences étant localisées dans des parties spéciales du cerveau.
En d'autres termes, cela veut dire que si le consommateur aime le produit, ça se verra dans une région précise du cerveau, si c'est le contraire, ça se verra sur une autre région. L'objectif étant d'identifier le processus (dans le cerveau du consommateur) qui provoque la motivation d'achat.
Une telle trouvaille a révolutionné le monde de la publicité.
La question qui reste à se poser est si ce Neuromarketing est légitime? Une telle méthode est-elle éthique, sachant qu'elle va bien plus loin que le celle du marketing sensoriel? Ou est-ce tout simplement une révolution commerciale ne pouvant que répondre à ce que les consommateurs veulent réellement?
Les avis restent différents...

En PJ, voici une vidéo de Michael Brammer, spécialiste en Neuromarketing, où il justifie les méthodes du Neuromarketing et nous éclaire davantage sur le sujet. Je rajoute le lien Youtube au cas où la vidéo ne s'enregistre pas sur ce billet. Le voici : http://www.youtube.com/watch?v=G0OobzVgEok

Pourquoi utiliser le sexe comme argument de vente? - Anaïs DISCHER cn2011 groupeA


Dans certains secteurs, on peut considérer que le sexe est un argument de vente banal et justifié, par exemple, la lingerie. Malgrès cela il existe plusieurs degrès dans la présentation de cet arguement: du mannequin très sage posant en dessous fins à la mise en scène clairement sexuelle, qui seront relatifs à l’image de marque que veut se donner le fabriquant. Dans les années 1990, le nu était considéré comme l’accroche suprême pour la publicité des produits de la gamme hygiène et soin du corps qui ne se concevaient pas sans femmes nues. Mais cette nudité était légitimée par l’utilisation même du produit.. Depuis, la nudité et le sexe ont émergé en tant qu’arguments de vente en dehors de ce cadre traditionnel. Le sexe sert d’accroche et de promesse de vente pour des produits n’ayant absolument rien à voir avec le sexe, l’érotisme ou même une quelconque situation légitimée de nudité. Ce glissement est très controversé et suscite de nombreux débats moraux. Dans ce billet nous ébaucherons l’analyse d’une nouvelle génération de produits publicitaires, qui se sert du sexe comme argument de vente pour des produits qui n’ont rien à voir avec le marché de l’érotisme ou du charme.

Le but de la publicité est, entre autres choses mais principalement, de stimuler l’achat. Il s’agit donc de créer du “stimulus”. Hors, pour que ce stimulus opère, le consommateur se doit d’être alerté. Dans le contexte actuel, les publicitaires doivent faire face à un phénomène de saturation du public (public de plus en plus connaisseur en matière de publicité, de plus en plus exposé) et donc, déploient des mécanismes de défense. En effet l’individu se crée des barrières contre la publicité, en fonction d’une expérience acquise. Dans ce contexte de bruit, la publicité se heurte à deux attitudes chez le consommateur : l’adaptation ou la perception défensive.
Il s’agira donc pour la publicité de sortir de ce contexte de bruit auquel le consommateur s’est adapté. Il faut étonner à nouveau, créer des concepts de rupture qui captent l’œil et l’oreille par leur originalité. Ainsi surpris, le consommateur se place dans une dynamique de “perception vigilante”, c’est à dire qu’il est réceptif au message publicitaire. C’est dans cette optique qu’est utilisé le sexe en publicité, dans le cadre de la promotion de produits non sexuels. De plus, pour vanter le produit, il est nécessaire de susciter le désir chez le consommateur et le désir est fondamentalement sexualisé. Le but de l’utilisation du sexe est donc double : multiplier les chances de capter l’attention et multiplier les probabilités de stimuler le désir.
La captation est la première étape, capitale, d’attraction des consommateurs potentiels. Une fois le public capté, c’est la traditionnelle logique de l’AIDA qui se déploie :
* Attention (pour la publicité),
* Intérêt (pour le produit),
* Désir (prise de conscience d’un manque, envie d’achat)
* et finalement… Achat.

La nudité comme accroche n’a en effet absolument rien de nouveau. Ce qui est peut-être nouveau, en revanche, c’est, au delà de la nudité, la relation sexuelle comme argument de vente.
Voici quelques exemples où la sexualité est clairement affichée sans qu’il y ait de liens avec le produit vendu:

Produit amincissant:


Club de vacances de Thomas Cook voyage:

La relation sexuelle se banalisant dans le langage publicitaire, on peut s’attendre à ce que ce type de publicité rejoigne malgrès tout le “bruit” des autres productions et que l'histoire se répète.
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